Coucou !
Alors j'ai réfléchi un petit peu à ta question. Je pense que l'exemple que prend le prof dans son cours est très philosophique et il revient sur le fait que le consentement peut être vu de différentes manières en fonction du caractères et des pensées de chaque patient/personne. Le consentement peut être vu des deux manières, mais c'est quelque chose de très abstrait, assez vague. Je retiendrai surtout les deux notions et le fait que c'est quelque chose de personnel.
Ensuite, honnêtement, je ne pense pas que le prof posera une question du genre, le consentement est une résignation vrai ou faux, s'il fait un QCM ça sera quelque chose de concret ne t'inquiète pas !
Est-ce que tout est bon ?