Il est dit dans le cours sur le secret médical que la déclaration de privations ou sévices est facultative sans accord du patient pour les mineurs et les personnes vulnérables physique OU psychique et la ronéiste nous donne l'exemple d'un adulte vulnérable (donc on doit comprendre physiquement et/ou psychiquement)
Or, si la personne n'est pas vulnérable il faut l'accord du patient obligatoirement .
Jusque là pas de problème, mais quelques lignes plus loin on nous dit
Dans le deuxième cas (donc ici la personne non vulnérable) c'est la même chose masi cela concerne les adultes non handicapés, le médecin peut traiter la maltraitance seulement AVEC l'accord du patient
Questions :
1) La loi dit-elle que vulnérable = handicapé? Vu qu'elle parle de problème physique ou psychique, ça peut être une dépression ou autre chose qu'un handicap, auquel cas le patient est renvoyé à la première catégorie (le médecin déclare SANS besoin d'accord préalable du patient)
2) Vous auriez répondu quoi à un item disant : Mme X fait une dépression à cause de son nom pourri qui craint car il n'y a qu'une lettre. Elle a perdu une partie de ses facultés de jugement et subit des violences de la part de son mari. (on est d'accord que c'est pas un handicap, mais elle est vulnérable)
Le médecin de Mme X peut-il déclarer les violences qu'elle subit sans l'accord de la patiente ?
Merci !