Re bonsoir à tous
l'inflammation est composée de 3 phases : vasculaire, cellulaire et la cicatrisation
si on a un antigène
- soit il est éliminé tout de suite par les macrophages ok
- soit il est plus costaud et n'est pas complètement éliminé par les macro:
--> le macro appelle les PNN et lympho; pool marginal puis circulant on entre dans une rep inflam aiguë localisée
si ça s'emballe : hyper stimulation des CFU-GM up la production de PNN on entre dans la RI aiguë systémique/généralisée
--> l'anti gène n'est pas très virulent mais persiste, ça dure dans le temps sans hyper stimuler les CFU on entre dans l'inflammation chronique
pour plus d'infos autres sources, ce n'est qu'à titre indicatif :
http://medidacte.timone.univ-mrs.fr/web ... imprim.pdf
Notions d'inflammation aiguë et d'inflammation chronique
1.4.1. Inflammations aiguës
Il s'agit de la réponse immédiate à un agent agresseur, de courte durée (quelques jours ou
semaines), d'installation souvent brutale et caractérisée par des phénomènes vasculoexsudatifs
intenses. Les inflammations aiguës guérissent spontanément ou avec un traitement,
mais peuvent laisser des séquelles si la destruction tissulaire est importante.
1.4.2. Inflammations chroniques
Inflammations n'ayant aucune tendance à la guérison spontanée et qui évoluent en persistant
ou en s'aggravant pendant plusieurs mois ou plusieurs années. On peut distinguer deux types
de circonstances de survenue des inflammations chroniques :
• les inflammations aiguës évoluent en inflammations prolongées subaiguës et
chroniques lorsque l'agent pathogène initial persiste dans les tissus (détersion
incomplète) ou lorsqu’une inflammation aiguë récidive de façon répétée dans le même
organe en entraînant à chaque épisode des destructions tissulaires de moins en moins
bien réparées.
• Les inflammations peuvent parfois se manifester d'emblée sous une forme
apparemment chronique. La phase aiguë vasculo-exsudative est passée inaperçue car
brève ou asymptomatique. C'est souvent le cas de maladies auto-immunes, ou
d'affections où les mécanismes dysimmunitaires sont prépondérants (exemple :
hépatite chronique active secondaire à une infection par virus de l'hépatite B ou C).
les quatre signes cardinaux classiques de l'inflammation aiguë: rougeur, chaleur, tuméfaction, douleur. Elle comporte trois phénomènes : une congestion active, un oedème inflammatoire (l'exsudat), une diapédèse leucocytaire.
Les polynucléaires sont le stigmate morphologique de l'inflammation aiguë