Salut !
C'est bien le médecin qui doit demander l'avis d'un confrère pour s'assurer de la pertinence de ce choix.
Effectivement c'est mal formulé dans le référentiel (ça doit être une petite errata de copié-collé) mais je te mets un extrait de la Charte officielle :"Autre conséquence du principe du consentement : toute personne hospitalisée, apte à exprimer sa volonté, peut aussi refuser tout acte diagnostic ou tout traitement ou en demander l’interruption à tout moment. Toutefois, si par ce refus ou cette demande d’interruption de traitement, la personne met sa vie en danger,
le médecin, tenu par son obligation d’assistance, doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables.
Il peut faire alors appel à un autre membre du corps médical.
Cependant, dès lors que la personne réitère sa décision dans un délai raisonnable (délai apprécié compte tenu de la situation), celle-ci s’impose au médecin."
C'est plus clair pour toi ?